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En 1959, IBM lança l' IBM 1401 (commercial qui utilisait des cartes perforées.
D'autres suivront : cuba pour le Laboratoire central de l'Armement, CAB 2000 et 3000.
Jean Marguin, Histoire des instruments et machines à calculer, trois siècles de mécanique pensante, Hermann, 1994 ( isbn ) Pierre Mounier-Kuhn, L'Informatique en France, de la seconde guerre mondiale au Plan Calcul.Ce dispositif baptisé «horloge à calcul» aurait pu exécuter mécaniquement les additions et les soustractions, et presque aussi facilement les multiplications et les divisions.Quatrième génération (1971 à la fin des années 1980) modifier modifier le code Une définition non universellement acceptée associe le terme de quatrième génération à l'invention du microprocesseur par Marcian Hoff et Federico Faggin (physicien et inventeur italien, spécialisé en physique du solide ).Le but était de ne conserver qu'un seul système d'exploitation pour l'ensemble de la gamme mini.La convergence de l' informatique, de l'Internet, et des télécommunications a été décrite par une nouvelle expression, les «technologies de l'information et de la communication» (TIC que la dglflf préfère appeler techniques de l'information et de la communication 26, afin d'éviter l'usage abusif du mot.En 1960, des Français sortaient le Serel OA-1001 17, une machine 18 bits signe parité, 4 kmots, 100 kHz, purement binaire dédiée au contrôle de processus ou aux calculs scientifiques.Le travail de l'utilisateur est facilité par le langage Programmation Automatique des Formules (PAF qui traduit les fonctions explicites en langage machine.Mauchly de Remington Rand commercialisèrent l' univac I ( Universal Automatic Computer ).Contrairement aux machines précédentes, il ne lisait pas des cartes perforées mais des cassettes métalliques.Très abordable à seulement.99/mois.Le PDP-1 était le premier ordinateur interactif et a lancé le concept de mini-ordinateur.
On peut aussi considérer que la notion de «générations» est un concept marketing, lancé en 1964 par IBM, et n'a aucun intérêt historique : il ne tient compte ni des technologies de mémoire (tambours magnétiques, tores de ferrite ni des périphériques, ni de l'évolution du logiciel.
En 1966, le gouvernement français lance le Plan Calcul destiné à assurer l'indépendance du pays en matière d'ordinateurs.
Elle tournait à 100 kHz, était composée de 20 calculateurs fonctionnant en parallèle et pouvait effectuer 100 000 additions ou 357 multiplications par seconde.